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terrain synthétique - Page 2

  • BUDGET 2017 DE VANVES : « Nous parviendrons à garder constants nos objectifs majeurs »

    Le budget 2017 qui sera voté ce soir au Conseil municipal devrait s’élever  à 43,15 M€ en fonctionnement et 6,09 M€ en fonctionnement. 

    Lors du débat d’orientaton budgétaire, Bernard Gauducheau (UDI) avait rassuré en affirmant que « nous parviendrons en 2017 à garder constants nos objectifs majeurs » malgré le gel des dotations de l’Etat, la péréquation, la complexité financière créée par la création de la MGP…Il est vrai la vente des terrains A.Briand (16,2 M€) mais aussi Mary Besseyre (5,2 M€)  a permis de réduire de 50% la dette de la commune, mais aussi  de retrouver des marges d’actions. Elles permetent le  maintien de la qualité de service notamment dans les secteurs éducaifs (enfance, petite enfance, écoles) et sociaux dont les cédits globaux serent inchangésd voire aiugmentés,  avec « une attention particulière sur la situation du personnel communal dans le souci de maintenir un climat social et des conditons de travail favorables à la qualité de services » , soutien à un effort d’investissement essentiel pour ne pas perdre le dynamisme et l’attractivité de Vanves : Le PMS A.Roche avec la réfection dela tribune, la transformation en terrain synthétique du terrain d’honneur, des travaux d’éclairage avec un programme de sécurisation de ses abors et accés pour 2,9 M€, la réfection du tunnel du métro (400 000 €), de la placette Carnot (15 00 €), l’enfouissement desréseaux rue Raphael (106 000 €), la poursuite du programme d’accessibilité dans les bâtiment, le démarage d’un important programme de sécurisation des bâtiments imposé par le contexte lié aux risques terroriste … avec la recherche de subventions extérieures. D’autant plus que la commune ne peut plus compter sur le soutien de GPSO, qui représentent plus qu’un quart de financement des dépenses d’équipements

    Le groupe PS avait noté  avec satisfaction que « comme l’an dernier, la politique communale entend insister sur les actions prioritaires dans les secteurs éducatifs et sociaux et notamment l’enfance, la petite enfance, l’éducation et l’action sociale dont les crédits globaux sont inchangés voire augmentés » et que « les efforts importants demandés depuis deux ans dans certains secteurs seront stabilisés, notamment dans le secteur de la communication et du protocole » constatait Anne Laure Mondon (PS). Plusieurs  points avaient retenus  par ailleurs, particulièrement son attention : GPSO car « la commune ne peut plus compter sur son soutien pour s’équiper à cause justement de ses modifications financières entraînés par la création de la MGP ». Le personnel communal dans la mesure où il est prévu  « pas de remplacement systématique des départs des agents quel que soit le motif de départ (mutation, démission, retraite, disponibilité…) ». Enfin, les choix d’investissement de la Ville. « 2017 verra le démarrage des travaux d’extension du stade André Roche. Ces dernières années de nombreux investissements ont été réalisés pour des équipements sportifs. Par ailleurs la Ville a acquis en 2015 pour 2 M€ un terrain rue Diderot destiné à accueillir un équipement public, à priori sportif. Offrir des équipements de qualité aux nombreux sportifs Vanvéens est certes important mais la politique d’investissement en matière d’équipement public de Vanves ne doit et ne peut, selon nous, être majoritairement centrée sur un type d’activité.C’est pourquoi, nous regrettons que la Ville n’ait pas conservé les terrains de la rue Mary Besseyre, emplacement symbolique entre la Mairie et le Monument aux morts, qui aurait pu accueillir un équipement public, non sportif, lieu de vie, d’échanges inter-générationnel, associatif et culturel… les possibilités et besoins sont nombreux et pouvaient être étudiés collégialement ».

  • STADE DE VANVES : VANVES BAT NANTERRE PAR 4 A 0

    Troisième victoire consécutive, 3/0, 3/0 et 4/0. « Comme le week-end dernier, les seniors confortent leur première place. L'équipe augmente son avance sur ses poursuivants, Neuillly a fait match nul et perd 2 points (victoire 4 pts, nul 2 pts ). Depuis plusieurs matches nos joueurs ont trouvé un système de jeu à une touche de balle, avec redoublement de passes, ce qui permet de faire sortir l'adversaire pour mieux le prendre en contre » indique Jean Claude Vignal, président de la section football qui constatait que « Le spectacle proposé attire les supporters ( maire adjoint et son collègue aux sports, le président du stade de Vanves ). Il est dommage que ce public ( 70 personnes environ)  soit « accroché » au grillage plutôt que d'être dans les tribunes. Vivement le terrain synthétique sur le terrain d'honneur. Dimanche prochain 1/4 de finale de la coupe des Hauts de Seine à Nicolaïte de Chaillot ».

  • SECTION ATHLETISME DU STADE DE VANVES : LA FIEVRE DU SAMEDI MATIN

    Ils sont 300 à courir ou à faire des exercices athlétiques, mais surtout courir chaque samedi matin, les enfants de 4 ans aux poussins  et leurs parents, encadrés par une quinzaine d’animateurs de la section athlétisme du Stade de Vanves. C’est assez impressionnant à voir. Et cela depuis presque 3 ans. « Au tout départ nous avions commencé par organiser des cours et des initiations à l’athlétisme  le samedi matin, parce que beaucoup de parents qui voulaient que leurs enfants fassent de  l’athlétisme, ne pouvaient pas le mercredi aprés-midi  à cause d’activités plus culturelles (conservatoire…). Du coup, nous nous sommes dit pourquoi pas ne pas essayer de faire participer les parents, plutôt que les voir attendre sur le bord de la piste d’athlétisme, avec les enfants. Et cette formule a pris voilà 2 à 3 ans, avec une dizaine de parents au début. Ils venaient pour se maintenir en forme. Ils ont trouvé l’ambiance  sympa, en ont parlé autour d’eux, et le bouche à oreille a pris… Maintenant, ils sont entre 60 et 70 parents. Avec les enfants, on n’est pas loin de 300 dans le stade de Vanves » raconte Ghislaine Guilbert, présidente de la section athlétisme.

    « Certains animateurs s’occupent des enfants selon leur âge, parce qu’ils ne font pas tous la même chose, en fonction des catégories : les plus petits sont pris à partir de 4 ans et on s’arrête aux poussins pour le Samedi, benjamins et minimes ont leur entrainement en semaine. Ainsi le samedi matin s’adresse à l’école d’athlétisme  et aux poussins avec une heure et demie d’exercice pour les plus grands, une heure pour les plus petits. Ils ont des petits parcours à faire avec de petites haies, tourner autour des poteaux, s’entraîner  pour apprendre les gestes lancer du javelot et du poids. Nous leur faisons du trampoline pour leur apprendre à aller en hauteur pour la perche, et  sauter dans les sautoirs en longueur lorsqu’ils peuvent,  au dessus d’une petite haie pour leur apprendre à monter en hauteur pour aller le plus loin possible. Tout est basé sur des jeux, avec de temps en temps des relais contre les parents. Ces derniers sont pris en main par d’autres animateurs pour les entraîner, sans objectif de compétition, mais pour se faire plaisir ».  L’autre temps fort de la section se déroule en semaine,  en fin d’après midi le Mardi et le Jeudi pour les seniors qui font de la compétition, car Claude, l’un des entraîneurs,  est là tous les soirs. « Ils sont une centaine sur 350 adhérents, dont peu de compétiteurs vraiment purs, entre 20 et 30 maximums, tandis que les autres peuvent participer à  des courses sans le dire toujours.  Certains viennent juste pour le plaisir, bien souvent pour améliorer leurs performances, mais sans faire forcément des compétitions » indique t-elle sans dire qu’ils s’entraînent quel que soit le temps pour les plus fanas, été comme hiver, sous la pluie comme dans le brouillard…. 

    LES CHAMPIONS NE RESTENT PAS !

    Cette section athlétisme frise  les 350 adhérents qui devraient être dépassé grâce à l’arrivée de quelques anciens. « Plus des trois quart ont moins de 18 ans, et plus de la moitié sont des jeunes inscrits à l’école d’athlétisme ou poussins. Ils  ne sont pas encore réparties par discipline, car la fédération ne veut pas les spécialiser jusqu’aux cadets. Nous  essayons de faire en sorte que ces jeunes touchent à toutes les disciplines. Nous ne les poussons pas à la compétition. Ils y viennent tout seul, grâce à leur  petit copain. Les petits n’ont pas beaucoup de compétitions, essentiellement des animations en salles ou sur stade durant la belle période, avec les Jeux des Hauts de Seine en Juin, qui se rapprochent d’un mini décathlon parce qu’ils ont une course, un saut et un lancer, sans beaucoup d’épreuves individuelles mais plutôt par équipe. Ils peuvent participer à certains cross, mais c’est très cadré, insistant plus sur la durée qu’un nombre de tour pendant un laps de temps ou une distance à parcourir le plus vite possible. Au niveau championnat, ils n’ont qu’un tour à effectuer comme pour  les benjamins, mais les 20 premiers, en cross,  sont sélectionnés pour constituer une équipe départementale qui coure au 3éme tour aux inte régionaux. Ainsi les petits restent au niveau départemental, les plus grands peuvent aller jusqu’au national s’ils répondent aux critères de temps et de places, comme les cadets qui participent aux mêmes épreuves que les adultes » explique t-elle en  citant quelques noms de jeunes athlètes qui ne restent pas longtemps « parce que ce n’est pas leur intérêt » : Elisa Pinot, 15 ans , qui est partie,sollicitée un peu partout dans les différents de formation de la FFA. « Pour sa carrière, c’était mieux car elle n’avait personne de son  niveau à Vanves ». Christéle Vertueux qui a fait de nombreux podiums. « Quand ils sont bons, il leur faut une équipe pour progresser, donc ils partent. Nous  n’avons  pas suffisamment de monde pour les entraîner, et nous n’avons pas le même budget que les gros clubs » reconnait elle. Djamel Mastouri bien sûr qui a participé aux Jeux Paraolympique

    LE SYNTHETIQUE INQUIETE !

    Les J.O., les championnats du monde ou d’Europe comme Zurich, cet été, créént une émulation :  « Nous avons eu un effet « Zurich » à la Rentrée car au Forum, les parents étaient tous venus d’un seul coup, de craindre de ne pas avoir de places. Mais on n’a pas refusé jusqu’à présent de jeunes » indique t-elle. Seul sujet d’inquiétude : le terrain synthétique : « S’il y a un terrain purement synthétique comme pour le terrain Y.Saccard, c’est la fin de la section d’athlétisme. On ne pourra plus s’entraîner car il n’est pas bon de s’entraîner sur une telle piste, parce que cela fait mal. Les footballeurs sont aussi d’accord avec nous, car jouer sur un terrain complètement synthétique suscite beaucoup plus de blessures. Il y a certaines disciplines que l’on ne pourra plus pratiquer comme le lancer de javelot et du poids. Cela perdra de l’intérêt si on leur fait faire que des courses autour du terrain de football, sans pouvoir plus rien planter dans la pelouse pour leur faire faire des disciplines de façon ludique.  Les adhérents iront ailleurs. Il y a  peut être d’autres solutions pour contenter tout le monde ». Le Service des sports en aurait trouvé une pour satisfaire tout le monde.